Vous orientez le champ d’innovation, vous identifiez vos partenaires et vous définissez le calendrier de votre projet. Nous évaluons son adéquation avec notre programme et nous examinons sa pertinence.
Les règles du jeu sont simples : en tout temps et dans tout domaine lié à la confiance numérique et la cybersécurité, nous recevons votre proposition de projet d’innovation collaboratif !
Vérifiez l’adéquation de votre projet
Montant du soutien financier
max. CHF 100’000.- par projet
Taux de financement
[ max. 90% des coûts imputables totaux du projet
[ max. 70% des coûts inhérents aux partenaires d’implémentation
Coûts imputables
[ Frais internes de personnel et de matériel des partenaires académiques et des partenaires d’implémentation
[ Frais externes de conseils juridiques et de communication (max. 10% du budget global du projet)
Durée des projets
6 à 12 mois (flexible)
Conditions
[ Projet porté par un(e) collaborateur/-trice d’une Haute Ecole (EPFL, HEIG-VD, UNIL)
[ Participation d’au moins 2 partenaires académiques et 1 partenaire d’implémentation basé dans le canton de Vaud
[ Démarche d’innovation appliquée offrant un potentiel de retombées directes pour le tissu socio-économique vaudois
[ Résultats valorisables et (au moins partiellement) divulgables publiquement.
Frequently Asked Questions (FAQ)
Quels laboratoires, instituts et groupes de recherche peuvent déposer ou participer à un projet [seal] ?
Le programme [seal] est destiné aux membres du consotium EPFL – UNIL – HEIG-VD. Chaque laboratoire, institut et groupes de recherche de ces 3 institutions peut participer aux projets. Le programme n’est donc pas réservé aux spécialistes de la confiance numérique et de la cybersécurité, mais concerne bien chaque domaine faisant appel à ces compétences.
Au sein d’une institution académique, qui peut être porteur d’un projet [seal] ?
Moyennant respect de leurs règles et usages internes, tous les collaborateurs des 3 institutions académiques (EPFL, UNIL, HEIG-VD) peuvent déposer un projet et en être le porteur. Le programme n’est donc pas réservé aux professeurs. Les collaborateurs scientifiques, les chargés et assistants de recherche, les chercheurs postdoc et les doctorants sont également concernés.
Que signifie être porteur de projet ?
Le porteur de projet est le répondant du projet vis-à-vis du programme [seal]. Il assume un rôle de coordination générale et d’intermédiaire financier et de communication. Cela ne signifie pas pour autant qu’il doit être le contributeur principal au projet.
Quels types de ressources humaines les partenaires académiques peuvent-ils valoriser dans le cadre d’un projet ?
Toutes les fonctions (professeurs, postdoc, doctorants, assistants, …) peuvent être valorisées à leur tarif respectif, si leur contribution au projet s’avère pertinente. Il est également envisageable d’apporter une contribution au travers un travail d’étudiant encadré (travail de Master par exemple).
Quelles sources de financement complémentaires les partenaires académiques peuvent-ils activer ?
Les autres sources de financement sont à priori les bienvenues (fonds structurels académiques, fonds nationaux, fondations, contributions industrielles). Elles doivent être annoncées de manière transparente.
Comment un financement [seal] peut compléter un programme de recherche (fondamentale) de plus longue durée ?
Un financement [seal] peut être envisagé comme un complément ponctuel à un projet de recherche permettant d’appliquer des résultats intermédiaires (Proof of Concept, prototype, pilote, Poof of Value). Dans ce contexte, il peut permettre de couvrir une partie du salaire d’un doctorant ou du personnel engagé spécifiquement.
A quel tarif les heures de travail sont valorisées ?
Les partenaires académiques appliquent leurs tarifs horaires Innosuisse. Le tarif horaire des partenaires
d’implémentation (entreprise, organisation à but non lucratif, service de l’administration publique) n’excède pas CHF 150.-.
Quel est le rôle d’un partenaire d’implémentation ?
En principe, le(s) partenaire(s) d’implémentation joue un rôle très actif dans la conception et le développement du projet et représente une part substantielle des coûts. Il est toutefois possible de lui/leur donner un rôle davantage consultatif (orientation et choix stratégiques, retours de terrain, positionnement économique, tests-utilisateurs).
Est-ce que le financement [seal] peut également couvrir les coûts des partenaires d’implémentation ?
Oui, les coûts de personnel et matériel des partenaires d’implémentation (entreprise, organisation à but non lucratif, service de l’administration publique) peuvent être financés à concurrence de maximum 70%. Les coûts des partenaires académiques peuvent quant à eux être couverts à 100% par [seal].
Les partenaires d’implémentation doivent-ils apporter une contribution en espèces ?
Non, les partenaires d’implémentation peuvent se limiter à un apport en nature (ressources humaines et matérielles) correspondant au minimum à 30% des coûts qui leur sont imputables.
Quelle est la contribution minimale des partenaires d’implémentation ?
Aucune contribution minimale n’est définie. Le financement [seal] est limité à 90% des coûts du projet, mais les 10% restants peuvent provenir d’autres sources que les partenaires d’implémentation.
Soumettez votre projet
La soumission doit être faite par un(e) collaborateur/-trice d’un partenaire académique (HEIG-VD, UNIL, EPFL) conformément à notre règlement.